L'un des piliers du système de défense et de déni des nucléocrates qu'est la notion des 'faibles doses' s'effrite et se désagrège au fil des événements, rien d'étonnant à cela puisqu'il ne repose sur rien de scientifique, mais sur un postulat qui n'a rien de hasardeux, car il a, au contraire, été soigneusement construit et étayé par ceux la même que ça arrangerait bien que la vérité soit aussi simple.
Mais en réalité ce n'est pas aussi simple, ni aussi inattaquable que veulent le faire croire les défenseurs de l'atome version nucléaire, ni civil, ni militaire.
Le risque radioactif intervient dès la plus infime présence d'éléments radioactifs, c'est ce que confirme une étude montrant que les bébés nés en Californie ont subi les effets des retombées de Fukushima , d'après son auteur Chris Burby.
Ce qui me révolte le plus au travers de ces affirmations, c'est l'horreur qu'il y a dans l'argumentaire pro-nucléaire qui à l'arrogance d'affirmer que la catastrophe nucléaire de Fukushima n'a pas fait de mort, ce qui en apparence à court terme peut semblé vrai pour les citoyens désinformés que nous sommes pour la plupart, or ce que démontre certaines études comme on l'apprend là, c'est que la mort à fait son oeuvre au niveau de l'embryon.
Alors ne pas arriver à la vie, ou atteint de mal-formation parfois mortelles ça s’appelle comment ?