Et bien c'est ce que vont tentés de comprendre des chercheurs au travers de 9 projets.
Ca se passe en Angleterre, avec la collaboration d'apiculteurs écossais.
Extrait :
"Pour expliquer cette surmortalité, la communauté scientifique parle aujourd'hui de causes "multifactorielles", et d'interactions possibles entre les divers facteurs : maladies, parasites, exposition aux pesticides, raréfaction de la nourriture des insectes due à l'uniformisation des cultures, appauvrissement génétique des reines... Les programmes lancés en Grande-Bretagne exploreront ces diverses pistes : rôle du parasite Varroa destructor - surnommé le "vampire de l'abeille" - dans la propagation des virus, impact des modifications du paysage et des changements dans l'environnement, fonctionnement des abeilles en ville..."
Voilà une bonne nouvelle, malheureusement provoquée par un terrible constat !