L'un des arguments massue de certains pro-nucléaires, dit qu'il n'y a pas eu de morts instantané et direct lié à la catastrophe nucléaire de Fukushima, et malheureusement cette affirmation qui les arrangent bien ne peut être contrée officiellement tant l'opacité règne autours de cette affaire, comme lors de tous les autres accidents d'origine nucléaires.
Cette affirmation est le reflet immonde et nauséabond de l'aveuglement et de l'immoralité meurtrière qui règne dans ces hautes sphères de décisions industrielles et Étatique, tant que l'on peut se garantir que la mortalité ne peut pas nous être imputée directement et juridiquement, le reste importe peu, la responsabilité ne pourra jamais être pleinement, juridiquement établi entre les morts futurs et l'accident nucléaire, pour cela faite leur confiance, ils ne seront pas inquiété, ou alors si peu, que c'en est une mascarade puante, et mortifère.
Alors que sont devenus les ouvriers disparus, qu'en est-il advenu de ces hommes dont on a plus traces, évaporés dans la nature (contaminée), pris en charge dans des hopitaux (prisoniers nucléaires), quelle raison auraient-ils de ne pas se faire connaître, et de se faire suivre médicalement de leur propre gré, ou alors que craignent-ils......?
La liste des question que l'on peut se poser est longue, mais quelque soient les possibilités que l'on va bien pouvoir envisager, la dernière qui clôturera cette liste est inévitablement la même : seraient-ils mort ?
Le "Blog de Fukushima" sans pouvoir évidemment rien affirmer qui ne soit pas vraiment vérifiable comme à son habitude, nous donne quelques éléments, qui vous en conviendrez je pense sont en tout cas très troublant.
Je profite au passage pour insister sur cette situation industrielle qui veut, enfin ce sont les industriels refusant d'être tenu pour responsables qui veulent, tout diluer en fractionnant tout par le biais de la sous-traitance. cette situation les mets souvent à l'abris, masquant ainsi notamment l'obligation "inévitable", "organisée" de tout faire au moindre coût, c'est à dire souvent en ne faisant pas vraiment tout ce qu'il faudrait pour sécuriser et les biens et les techniques et les hommes, à ce compte là ne soyons pas surpris qu'un jours quelque chose lâche.
Voyez ces deux articles du "Blog de Fukushima" :
http://fukushima.over-blog.fr/article-les-disparus-de-fukushima-93065109.html