Ben voyon !
La voilà la triste vérité, les déchets sont là, et il va bien falloir s'en occuper, et il va falloir s'en occuper "bien".
Seulement comme pour beaucoup de choses, tous le monde va finir par accepter bon gré mal gré cette inévatable et incontestable situation, et donc la nécessité qu'il y a à trouver où, oui tous le monde va finir par l'admettre, oui mais chez les autres !
Après avoir imposé cette énergie nucléaire, voici donc que les déchets vont devoir, cercle vicieux, nous êtrent imposés eux aussi, alors bien sûr on va déployer des dispositifs dans tous les sens pour "ammener", "obliger" l'acceptabilité.
L'argument du siècle celui que l'on nous assène à tout va, et qui m'agace de plus en plus prodigieusement, consite en cette approche, qui se résume, ainsi, "si vous n'êtes pas d'accord, c'est que vous n'avez pas bien compris", alors on va vous aider à comprendre, on va en fait essayer de vous obliger à admettre.
Si vous n'acceptez pas ce que l'on veut vous imposer, c'est que nous n'avons pas "communiqué" de la bonne manière, l'art de la communition, est devenu l'art du mensonge, porté à son paroxisme.
Extrait :
Suite à l’échec du premier processus de désignation du site de stockage de déchets radioactifs FAVL, le HCTISN a été chargé de tirer les enseignements de cet épisode, au cours duquel l’Andra avait présélectionné 2 communes qui avaient préféré retirer leur candidature.
(...)
Le Haut Comité considère par ailleurs qu’ « il serait utile d’utiliser les fruits de l’appel à candidature de 2008, qui a permis de répertorier un certain nombre de sites favorables du point de vue géologique, au lieu de repartir de zéro. Un nombre restreint de territoires doit être sélectionné par l’Etat sur recommandation de l’Andra, en privilégiant des installations nucléaires doit être privilégié, notamment « pour des raisons sociologiques» souligne le rapport.
Concernant le calendrier, il est urgent de prendre son temps pour le HCTISN. « Il est nécessaire de se donner du temps pour mener le processus à bien en établissant un calendrier réaliste » affirme le rapport. Pour faire en sorte que le projet avance, il est nécessaire de prévoir un certain nombre d’étapes et de points de rendez-vous permettant l’évaluation du projet et une révision éventuelle du calendrier, précise le Haut Comité.
Plus généralement dans ce dossier sensible, l’Etat doit s’engager et exercer ses responsabilités dans la définition, l’exécution et la continuité du processus recommande le rapport. « Cette responsabilité première ne peut ni ne doit être transférée » précise le HCTISN. En la matière, « l’Etat doit afficher le caractère d’utilité publique et de service rendu à la Nation du stockage des déchets FAVL » recommande le rapport.